Boit-sans-soif de découvertes musicales, Julie a écopé les nuits shanghaiennes en tant que manager de club avant de venir s'installer en détox sommeil à Paris. Elle est à l'origine de ce blog devenu média.
Le chanteur continuera sa danse nonchalante tout le long du concert. Celle-ci est autant fascinante en début que lassante lorsque les morceaux bougent un peu plus: même sur Money, leur sympatique tube entêtant, le numéro du chanteur n’est pas en concordance avec la musique, on aimerait qu’il bouge un peu plus son corps, c’est morne là.
. J’arrive à la bourre, pile lorsque commence le concert de Black Strobe avec la lancée de Boogie in Zero Gravity, ambiance dansante d’emblée assurée avec le titre disco ce mercredi, release party de leur nouvel album Godforsaken Roads, avec carte blanche à Arnaud Rebotini et ses amis. « Bonsoir, Mama told me… » From the Gutter…
On vous a sélectionné nos coups de coeur pour préparer vos Rencontres Transmusicales.
Pop: Superets, FUZETA, My Summer Bee, Compact Disk Dummies, Raury, Puts Marie, Moses Sumney
Rock: I Me Mine, Grand Blanc, Jambinai, Bantam Lyons, Eagle Gift
Clubbing: Jungle by Night, TOO MANY ZOOZ, Shamir, DBFC, The Hacker, DollKraut, Rone, Ten Walls, Thylacine, N’To, Marco Barotti
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« …complètement fou cet après-midi là, je captais plus rien et j’ai passé à peu près 2 ou 3 heures à respirer comme un lapin, un challenge ce morceau, … »
Mercredi, WhoMadeWho déchainait un millier de personnes à Pigalle.
On m’avait dit qu’un ancien concert de The Legendary Tigerman avait été chiant, la super soirée de mardi était pourtant limite trop courte !
GodForsaken Roads est l’album du mois, le blues rythmé aux synthés d’Arnaud Rebotini dans son quatuor Black Strobe déménage et va faire des ravages. Papa Rebotini est en haut et il ne fait pas du gâteau.
Une voix magnifique. Un début mystique vers des morceaux électroniques prometteurs. Respect et curiosité.
Barragan est un album romantique à écouter dans son intégralité pour son ambiance atmosphérique et nonchalante, parfait en bas volume pour finir un dossier du boulot tard le soir à domicile ou pour une lecture du dimanche, il repose l’esprit.
Recommandés par les Artic Monkeys (Matt Helders arborait un T-shirt à leur effigie) mais aussi par Jimmy Page de Led Zeppelin, ce duo britannique (oui que deux) renoue avec la bonne vieille tradition rock façon Jack White/ White Stripes. Des sons bien gras, parfaits pour la rentrée, ca manquait de bon rock brut depuis longtemps ! C’est d’ailleurs surement pour ça qu’il sont encensés par la critique. Bon timing.